Prisonniers de guerre
à Barèges
De nombreux hommes ont été faits prisonniers après la seconde guerre mondiale : c’étaient des prisonniers de guerre Allemands ou des Français accusés de collaboration avec l’Allemagne.
Parmi eux, 250 ex-
Ces ouvriers travaillaient dans des conditions très difficiles, de 10 à 12 heures par jour. Ils touchaient toutefois un salaire élevé (environ 20 000 francs par mois) grâce à des primes de rendement. On leur versait la moitié de leur salaire, le reste étant constitué d’un petit pécule qui était la plupart du temps remis à leur famille, souvent privée de ressources.
Les détenus auxquels étaient mêlés des prisonniers de guerre et des travailleurs
libres allemands, vivaient en quasi-
Il n’y avait pas de prisonniers de marque sur le camp-
Les détenus avaient le droit de se chauffer étant donné la température rigoureuse qui règne à cette altitude (2000 mètres)
La nourriture était très bonne (la même que celle des gardiens et des travailleurs libres). Les ouvriers modèles pouvaient bénéficier de réductions de peine.
D’autres chantiers dans les Hautes-
Des prisonniers allemands ont effectué des travaux pour la ligne de chemin de fer
Lannemezan-
D’autres prisonniers étaient ouvriers dans des mines, ici à Pierrefitte.